Bienvenue et merci de vous arrêter par ici...
Merci, surtout, de prendre le temps de découvrir l'univers de Se lire au féminin.
Nous sommes le vendredi 8 mars et c’est aujourd’hui que je choisis de vous présenter enfin ce projet qui me tient tant à coeur et le pourquoi de ce contenu payant.
J’en prends soin depuis plusieurs mois maintenant pour en affiner les contours et surtout, le contenu.
Le mardi sera le jour de notre rendez-vous sur un sujet santé spécifique (la santé en général et la santé au féminin); le vendredi, je vous écrirai des choses plus intimes sur mon propre parcours santé chaotique, sur des réflexions maternelles (même si et surtout ! ma fille est maintenant une jeune adulte), sur le tournant des 40 ans déjà bien amorcé de mon côté. J’aime écrire sur tout ça et je me dis que certains sujets pourront vous aider à vous sentir moins seule. En tout cas, je l’espère.
Prendre soin de sa santé n’est plus une option ni une lubie auto-centrée
Dans la jungle qu’est devenue la santé, l’errance médicale fait rage.
Elle s’accompagne quasiment à chaque fois de cette détresse intérieure et invisible parce que les souffrances physiques et psychiques peinent à trouver une écoute attentive, fiable et suffisamment sécurisante pour reprendre confiance en soi et sa capacité à retrouver de l’énergie au quotidien.
(Re) devenir la plus autonome possible en ce qui concerne votre santé, ou du moins, dans un premier temps, votre mieux-être, n’est plus une option : c’est faire le choix éclairé de la prévention en décidant de vous accorder cette attention envers vous-même, trop souvent reléguée en dernière ligne, derrière les tonnes d’injonctions dont on perd souvent le sens, d’ailleurs.
Ici, je veux m’adresser aux femmes en quête de cette autonomie; cela ne peut avoir lieu sans apprentissage ni compréhension du fonctionnement de notre organisme.
Et, si vous ne choisissez pas d’apprendre ces trésors par vous-même, personne ne le fera à votre place.
Parce qu’il existe 1001 façons de Se lire au féminin, j’ai choisi celles qui me correspondent le plus, qui me font vibrer, qui me font avancer sur le chemin parfois tempétueux du féminin.
Des façons qui nourrissent aussi mon enthousiasme à vous les partager.
Maintenant, vous vous demandez sans doute pourquoi un contenu payant quand vous pouvez avoir accès à une tonne d’informations gratuites ?
Les différentes raisons du contenu payant :
🦋 Sortir de la confusion et retrouver son chemin dans “la jungle santé”
La santé fait partie de mes préoccupations les plus profondes depuis de nombreuses années, plus précisément, depuis mon entrée dans l’âge “adulte” dès 18 ans.
Mais j’étais bien plus jeune quand j’ai plongé dans l’anorexie : j’en avais 10.
Depuis toute petite, je baignais dans une atmosphère oppressante autour de la maladie et de la nourriture.
Une sorte d’hypocondrie généralisée dans la maison.
Les peurs ne m'appartenaient pas et pourtant, je les ai faites miennes.
Trop tourmentée par ces peurs paniques, un soir de mai, j’ai refusé de manger.
Le soir d’après aussi. Le début d’une longue série de soirées de détresse.
Je ne mangeais pas non pas pour maigrir. Du tout. À ce moment-là, je n’avais aucune idée de l’image que je pouvais renvoyer.
Ce n’était donc pas mon principal souci.
Peu de temps après, j’ai développé une scoliose, de légère à très sévère en quelques mois.
Elle a très vite nécessité le port d’un corset. Jour et nuit, pendant 10 ans.
Kiné, natation, kiné, natation. Un quotidien dans un carcan, sur tous les plans.
Un drame pour traverser cette transition si délicate de la puberté.
À 18 ans, donc, direction la liberté dans un studio à Toulouse pour mes études, sans aucun lien avec la santé.
Mais j’avais déjà plongé dans des livres ciblés pour comprendre certains blocages que j’avais. Pour tenter de comprendre leurs causes, surtout.
Et savoir comment sortir de cette prison mentale au quotidien.
La nourriture me terrorisait, je devais apprendre sur elle pour en faire sinon une amie, une alliée pour reprendre du poids.
Puis, j’ai découvert la Naturopathie l’année de ma Maîtrise en Histoire de l’art que j’ai d’ailleurs fait voler en éclats.
Je me suis formée dans différentes écoles.
J’ai adoré, tout. Je prenais tout, sans recul, j’expérimentais.
J’étais jeune. Et j’ai fait beaucoup d’erreurs.
Il y a 12 ans, j’ai amorcé un tournant majeur dans mon activité de Naturopathe : direction la Suisse, pour une formation très poussée sur les liens entre les troubles du métabolisme et du comportement et les intolérances alimentaires.
Et là, ça a été une révélation.
J’avais besoin d’aller beaucoup plus en profondeur dans la compréhension du fonctionnement de notre métabolisme.
J'avais besoin d'un enseignement plus “médical”, plus fonctionnel.
Pourquoi la Suisse ?
Parce que ce type et ce niveau de formation n’était tout simplement pas accessible en France aux professionnels de santé non médecins.
Direction Genève, 1 week-end sur 2 et 2 semaines sur 4 en juillet et en août pendant 2 ans.
Un rythme un peu fou-fou avec une enfant mais des découvertes passionnantes lors de cette formation intensive dispensée par des pontes dans leur domaine : immunologie, dentisterie, toxicologie, nutrition et analyses fonctionnelles.
Des heures, des jours, parfois des nuits à étudier des notions souvent complexes, en parallèle de décortiquer des bilans fonctionnels et leurs résultats, pour comprendre les causes des troubles et faire des liens nécessaires pour aider les personnes en souffrance.
Des semaines et des mois à nourrir une réflexion profonde sur des “cas” parfois difficiles afin d’établir une feuille de route solide pour permettre à ces personnes de se libérer peu à peu de leurs chaînes et retrouver le chemin du mieux-être.
Retrouver le sourire, aussi.
Cette précieuse formation m’a donné accès à des connaissances que je souhaite vous partager en les simplifiant et en vous les rendant les plus accessibles possibles, à mon tour.
C’est pourquoi le contenu payant à venir demande un intérêt supplémentaire, accru même, pour ce qui concerne votre santé et votre mieux-être.
Comme un engagement de votre part, envers vous-même en priorité.
☀️Simplifier les notions clés de santé afin de les rendre accessibles
Ensuite, je souhaite créer une différence avec le contenu gratuit, c’est-à-dire vous proposer un contenu qualitatif, reflet du temps consacré à l'écriture et l'organisation des pensées et des notions clés.
Un contenu non censuré, sans aucune pub.
En aucun cas, je n’ai l’intention de contribuer au matraquage des réseaux sociaux en vous poussant à surconsommer.
C’est tout l’inverse.
Certes, le concept peut vous sembler surprenant : newsletter = payante = mais quoi ??
Or, si l’on regarde outre Atlantique, ce concept prend de l’ampleur. Le format se popularise en Angleterre pendant qu’il cartonne aux USA (vous l’avez devinez, c’est de là qu’il vient).
J’aime ce concept.
N’achète-t-on pas de l’info en choisissant des journaux ou des magazines ?...
Ici, j’écrirai des contenus “creusés” : par exemple, vous ne verrez plus votre carotte râpée🥕de la même façon quand vous saurez pourquoi il est important de la manger lactofermentée et toujours accompagnée d’un acides gras 🥑de qualité afin de bénéficier pleinement de la vitamine A qu’elle contient grâce à l’action des bactéries lactiques issues de la lactofermentation et dont notre microbiote🦠raffole (sinon, votre carotte n’a que peu d’intérêt); vous apprendrez aussi pourquoi les amalgames dentaires🦷contenant du mercure font des ravages silencieux dans l’organisme (le mercure n’est d’ailleurs pas le seul coupable et il y en a hélas ailleurs que dans les amalgames) et comment ils empoisonnent chaque jour un peu plus le corps à travers les vapeurs qu’il dégage et dégradent les membranes cellulaires tout en chassant le zinc de vos cellules; vous découvrirez comment vos émotions ❤️🩹sont à ce point régies par les neurotransmetteurs 🧠, eux-mêmes dépendants de l’état de votre microbiote et donc, de cette fameuse carotte🥕dont l’image risque de vous poursuivre un petit moment; et enfin, vous vous familiariserez avec les données essentielles à connaître pour votre santé au féminin 💌, pour ce qui concerne ses cycles et la perspective de la ménopause. Elle se met en place des années avant, lors de ces périodes pénibles où les hormones n’en font qu'à leur tête et où beaucoup de femmes subissent des désagréments physiques et émotionnels sans trouver de réponses adéquates ni de solutions sérieuses.
Cette tempête hormonale est encore trop souvent vécue dans l’incompréhension, la peur, la solitude et parfois, la détresse.
Ce sont des exemples de sujets parmi les montagnes de ceux qui attendent patiemment dans mes carnets.
Mon intention en vous délivrant ce contenu : vous aider à faire des liens précis afin que vos changements d’habitudes de vie ne soient ”juste” un besoin d’aller mieux ni les faire parce qu’il “le faut bien, tout le monde le dit”.
Non.
Acquérir ces connaissances et faire des liens va vous permettre d'ancrer un “pourquoi les faire” fort, garant de la pérennité de ces nouvelles habitudes de vie.
Un autre élément essentiel en lien avec cette démarche : vous permettre de vous responsabiliser d'une autre façon, même si elles sont complémentaires bien sûr, que les programmes en ligne dans tous les sens ou les accompagnements plus ou moins longs.
J’en propose et je ne les remets pas totalement en question.
Mais, depuis quelques temps, les retours de beaucoup de femmes me confirment que, parfois, vous souhaitez apprendre et avancer vers votre mieux-être sans nécessairement vous engager dans la durée ni payer le prix fort pour y parvenir.
Certaines d’entre vous ont tout simplement l’envie de cheminer tranquillement, à votre rythme (qui n’est pas celui du prévisionnel du thérapeute), d’approfondir vos connaissances pour pouvoir encore mieux équilibrer votre alimentation, par exemple.
D’ailleurs, c’est elle la base de tout.
Cheminer tranquillement et librement vers votre mieux-être.
📝L’écriture comme moyen de transmission et d’apprentissage
Une autre raison à ce projet : je consacre de plus en plus de temps à l’écriture et, pour être transparente, je rêve d’en vivre un jour…
Parce que c’est le moyen de transmettre qui me fait le plus vibrer.
D’ailleurs, depuis plusieurs mois, je glisse tranquillement vers l’augmentation du temps passé à écrire du contenu.
Du contenu long et pérenne.
Et je souhaite monétiser ce temps, tout en douceur.
Je sais qu’en France beaucoup de personnes pensent encore qu’on ne peut pas vivre de sa passion et, de surcroît, en vivre décemment.
Les croyances ont la dent dure, vestiges du mythe de l’artiste qui vit d’amour et d’eau fraîche parce que ses talents ne seraient pas “payables”...
De mon côté, j’aime autant passer du temps auprès de vous lors des accompagnements que transmettre, enseigner.
Et je souhaite diffuser et simplifier plus largement encore l’accès à ces notions essentielles sur la santé.
Je me sens utile à les rendre accessibles pour faciliter leur intégration dans votre quotidien pratico-pratique.
En revanche, je souhaite être très claire sur mon positionnement concernant votre santé : lors des accompagnements ou ici, je m’appuie exclusivement sur les facteurs naturels de santé et je ne m’occupe d’aucun trouble en particulier. 📍
Je ne vous conseille sur aucune “pathologie” avérée ou suspectée dont vous pourriez souffrir.
C’est le rôle du médecin et de lui seul.
Pas le mien.
Je reste fidèle au cadre de la Naturopathie sans en déborder ni m’engouffrer dans cette brèche très dangereuse et risquée pour ma pratique.
D'autres prennent le risque.
Par contre, je m’éclaterai dans ce contenu payant à vous informer de tout ce que je pourrai, à un niveau plus poussé, pour vous aider à avancer avec plus de clarté vers vos attentes et besoin en termes de santé.
Je propose, j’informe et vous intégrez les informations à votre rythme dans votre quotidien.
Écrire représente pour moi ce fil rouge qui me permet de rester en lien avec vous, tout en continuant à me sentir utile et vibrer.
L’écrit associé à l’audio, ce sera un peu comme si on était à côté.
Je souhaite vivement que le temps passé à écrire vous soit autant utile qu’à moi.
Et je privilégierai toujours la qualité à la quantité.
Vous êtes toujours là ?
Super.
❌ Se libérer des réseaux sociaux et de leur tyrannie…
Je dois vous parler d’une dernière raison.
Probablement la plus bouillante pour moi.
S’abonner à un compte Twitter, Tiktok, Facebook ou Instagram, ce n’est pas engageant.
C’est simple, facile, rapide, séduisant, alléchant.
S’inscrire à une newsletter payante, c’est l’inverse.
C’ est engageant, j’en suis tout à fait consciente.
Je sature de ce contenu sur ces “plates” formes qui devient de plus en plus abrutissant, superficiel, énergivore.
Creux.
J’adore me divertir et rire, mais j’ai quand même besoin de plus que quelques secondes pour refaire ma journée et en profiter.
Surtout, je suis sidérée par la perte de temps que les scrolls sans fin entraînent.
Sans parler de notre cerveau qui dépérit. Celui de nos jeunes aussi.
C’est dramatique.
De plus, et c’est très problématique là encore, ces plateformes n'appartiennent qu’à leurs dirigeants qui peuvent décider de tout changer tout le temps, les créateurs de contenu n'ont qu’à s'adapter pour survivre.
De tout changer ou de tout arrêter, sans préavis.
Non, en fait.
Déjà parce que c’est flippant.
J’ai besoin d’un tout petit plus de regard sur ce que je crée et de quelle décision prendre pour demain.
Et puis, l’opacité des algorithmes, on en parle aussi un peu ?
Je mets au défi le créateur de contenu le plus motivé de ne pas se décourager.
L'absence totale de communication sur les changements de règles constants entraîne une grande incertitude sur nos activités, une profonde insécurité même.
Et alors, la confiance en soi…
Elle en prend un sacré coup au passage.
Un jour, il “faut” poster tôt le matin ou en fin de journée pour que le post, pardon le Réel, soit vu, liké, commenté, partagé quand, le lendemain, même ce Reel chouchouté en coulisses perd en engagement.
Vous savez pourquoi ?
Pour nous pousser à monétiser notre découragement en boostant nos publications pour faire remonter notre estime.
C’est l’algorithme qui décide à qui nous montrer, ou pas.
“ Mais si ton post ne marche pas, c’est ton contenu qui n’est pas assez “vendeur” !”
Bim.
Une nouvelle écorchure dans la confiance en soi.
Alors, stop.
Je fulmine face à ces arguments.
Derrière l’algo, il y a des humains.
Pour moi, c’est lui le seul argument qui tienne.
Je souhaite donc me libérer de tout ça grâce au contenu payant.
Il touchera les personnes vraiment intéressées et je ne m’inquiéterai plus de savoir si mon contenu vaut toujours le coup.
J’ai aussi ce besoin profond d’avoir une totale liberté sur ce que j’ai envie de transmettre; ici, je me sens libre.
Je déteste tellement la pub, l’affiliation, les partenariats dans tous les sens (comme les programmes de tout à l’heure), les placements de produits, les stratégies pour nous manipuler et nous pousser à surconsommer.
Au secours.
Je déteste surtout la Naturopathie telle qu'elle devient sur les réseaux, celle des Naturopathes devenus des influenceurs santé.
Sans les admirer, je me demande comment ils font pour trouver le temps de bien gagner leur vie de rêve à tous les coins de la planète en passant autant de temps à créer du contenu pour les labo.
Vous reprendrez bien d’un petit code promo pour vous pousser à consommer un énième super aliment ultra transformé qui vient de l’autre bout de la planète et qui ne pousse pas dans les arbres, lui, ni qui ne sort de terre, mais après tout, tant pis ?!
J’exagère à peine.
Vous ne trouverez rien de tout ça ici, je chéris trop mon indépendance et ma liberté.
Je veux contribuer à redonner du sens au fameux “moins mais mieux”.
J’ai ce désir profond de rester indépendante et de ne plus souffrir de disparaître dans les limbes d'Instagram.
Et puis, le temps est une valeur hors de prix.
Inquantifiable, incompressible.
Irratrapable.
J’aime prendre tout mon temps en vous écrivant.
Merci pour votre intérêt, je sais que les sollicitations sont très nombreuses.
Merci à toutes, par votre présence, de contribuer vous aussi à redonner toute sa place à ce fameux sens.
À mardi prochain avec joie. 🌹